Culture
BMCE Capital connaît la musique

En cette soirée du 15 juin, le salon de l’Office des changes, à Casablanca, regorge de mélomanes, d’esthètes et d’amoureux de la grande musique. Plus de 1000 convives, représentant le dessus du panier. C’est que la BMCE célèbre le dixième anniversaire de sa privatisation. Non pas en rapports chiffrés, bilans d’activités et autres délices comptables, mais en musique. Nouvelle preuve que finance peut rimer aisément avec art :
c’est le président du directoire de BMCE Capital, Jaloul Ayed, qui anime la soirée. De manière éblouissante, avec son œuvre musicale Mogador, dédiée à la cité océane, émouvante, superbe et fragile, à laquelle il porte un culte. Dès les premiers mouvements, on est pris par la puissance, la douceur, l’alternance de la légèreté et de la gravité qu’exhale cette composition inspirée. Et quand Jaloul Ayed se met à exécuter des rythmes marocains, en hommage aux splendeurs du Royaume, on est d’abord étonné puis transporté. Les ovations pleuvent dru.
Elles sont suscitées par la grande facture de la composition de Jaloul Ayed et le brio de l’Orchestre philarmonique du Maroc, dirigé de main de maître par Jean-charles Biondi. Rappelons que cet événement musical a été soutenu et encouragé par Othman Benjelloun, président du groupe BMCE Bank. Il s’inscrit dans le sillage d’autres manifestations culturelles telles que l’exposition consacrée au peintre Salah Benjekan, qui témoignent du vif intérêt accordé par le groupe, à travers sa filiale BMCE Capital, à l’art et à la culture
