SUIVEZ-NOUS

Influences

CEPA, Al Akhawayn présente le rôle de l’IA dans le développement

La contribution de l’Université d’Ifrane, dans le cadre du Comité d’expert en administration publique (CEPA) porte sur l’apport de l’intelligence artificielle pour le développement, en s’arrêtant, notamment, sur les perspectives, les défis et les menaces en jeu.

Publié le


Mis à jour le

Dans le cadre de sa collaboration de longue date avec le département des Affaires économiques et sociales des Nations unies (UN-DESA), l’Université Al Akhawayn prend part, cette semaine, à la 23e réunion du CEPA (Comité d’experts en administration publique).

Pour cette année, la contribution de l’Université Al Akhawayn, qui sera présentée par le Pr Driss Kettani, portera sur «L’intelligence artificielle pour le développement : perspectives, défis et menaces», indique un communiqué de l’université.

À noter que CEPA est un comité consultatif technique des Nations unies qui étudie et formule des recommandations pour améliorer les structures et les processus de gouvernance et d’administration publique pour le développement. Le Comité se réunit chaque année, en avril, pendant une semaine au siège de l’ONU à New York. L’événement réunit de nombreuses personnalités et groupes influents aux niveaux national et international.

De nombreuses décisions/événements importants dans le monde, liés à l’e-gouvernement, à l’AI4D et à la transformation numérique sont pris lors de cet événement. Les résultats de cette rencontre sont utilisés par l’Undesa pour orienter l’analyse des tendances, problèmes et priorités de l’administration publique au niveau mondial, notamment en ce qui concerne le programme de développement durable à l’horizon 2030, et pour soutenir la mise en œuvre et les examens des progrès des ODD, précise-t-on.

Il est à relever que, depuis 2012, l’Université Al Akhawayn est un observateur permanent auprès du CEPA. Systématiquement, l’Université a participé aux discussions et délibérations des experts et a fourni une contribution (note technique) sur la manière dont la technologie pourrait servir l’objectif de bonne gouvernance dans les pays en développement. Les contributions de l’Université Al Akhawayn ont toujours été discutées lors de la séance plénière et, parfois, incluses dans les recommandations finales du CEPA à l’Ecosoc et à l’Assemblée générale des Nations unies.