Chronique
«Li liha liha» 
Notre fatalisme anthropologique est source de paresse intellectuelle et physique. Mais comment pourrait-il nous rendre plus actifs au lieu de nous inciter à ne rien faire ? À quelque chose malheur est bon.

À ce qu’il paraîtrait, Ramadan est propice à la méditation et à la réflexion. Quand ce n’est pas la contemplation du vide qui occupe quelques-uns pendant la journée en attendant l’unique rendez-vous que tous les Marocains respectent, celui de l’heure de la rupture du jeûne. La seule heure fatidique qui prouve que nous sommes capables…
